manifeste de la bande dessinée nomade (suite et fin)

Cette rédaction mobile et nomade offrira le fruit d’un langage métissé, un esperanto graphique que nous espérons mature, dans de nouveaux et intéressants chapitres d’une narration qui aujourd’hui, malgré ce que l’on pourrait croire, n’en est qu’à ses débuts. Des revues d’auteur pour une première publication, pourquoi pas ? Une opportunité de voir en termes moins solennels le magma vital duquel naissent les travaux, les œuvres. Il n’y a plus qu’à se retrousser les manches. Pensant à la grande liberté et l’imagination de l’immense

Igort, Paris, janvier 2006.

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